Vive la débrouillardise; il en faut anpil pour vivre et prendre soin des 46 enfants à tous les jours!!!!! C'est sans doute la Mère Thérèsa d'Haïti......
Avec des résultats qui semblent mitigés selon la vision de chacun du mot solidarité internationale, un rapprochement s’impose entre aidés et aidants, entre gens du nord et ceux du sud, entre démunis et d’autres bien nantis. Le chemin à parcourir est semé de découvertes, d’enchantement, de surprise, de déceptions parfois mais toujours en questionnement. On s’ajuste, on discute, on échange, on rejoint, on partage, on s’apprivoise et on avance ... 👍 KAMPE
vendredi 18 novembre 2016
Opportunité à saisir !!!
Lors d'une visite à une source d'eau nommée Cadnette, fort appréciée des haïtiens et en compagnie des enfants, Dina la responsable de l'orphelinat saisit l'occasion pour placer une bûche dans le Tap-Tap. C'est autant d'économie de charbon et des gourdes qu'il faut débourser pour cuire les aliments.
Vive la débrouillardise; il en faut anpil pour vivre et prendre soin des 46 enfants à tous les jours!!!!! C'est sans doute la Mère Thérèsa d'Haïti......
Vive la débrouillardise; il en faut anpil pour vivre et prendre soin des 46 enfants à tous les jours!!!!! C'est sans doute la Mère Thérèsa d'Haïti......
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Jean-Luc, tu as le don de la synthèse. T'es quatre dernières photos commentées en sont la preuve évidente: quatre dures réalités quotidiennes d'Haïti. Le Chatodô pour l'eau, le tableau pour l'èducation, l'école pour la construction et la bûche pour l'alimentation. Bravo.
RépondreSupprimerMerci Richard pour tes commentaires toujours appréciés! A bientôt
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